Si on admet que la Cicam s’efforce de livrer dans les délais ledit pagne, on comprend mal qu’il y ait quelque discrimination dans la distribution de celui-ci à en croire de nombreuses femmes du Septentrion où cette entreprise dispose pourtant d’une unité de production. En fait, le problème est ailleurs à en croire certaines femmes approchées pour lesquelles cette pénurie est simplement une provocation afin de les pousser à bout à défaut de vouloir simplement les écarter de ladite célébration.
ce qui serait un foyer social ouvert pour rien, devrait-on dire car, on se serait attendu qu’à défaut de disposer de points de vente, la Cicam disposât de revendeurs agréés approvisionnés en conséquence. Pire encore, l’inflation exponentielle autour du prix officiel laisse supposer à défaut de complicités tout au moins l’existence d’un réseau pouvant acquérir des centaines de pagnes sans être inquiété. alors que les femmes elles-mêmes peinent à acheter deux pagnes d’un point de vente connu, même en possession de la somme requise, on leur impose une restriction en arguant qu’on essaie de satisfaire tout le monde en en livrant qu’un pagne par personne.
source: Agence de Presse Panafricaine (App)