Ils font partie des 100 figures d’hommes et de femmes bien ou très peu connus du milieu de l’entreprise (DG), du milieu des affaires (Opérateurs économiques) et ministres de la République qui, de par leurs positions influencent l’avancée de l’économie camerounaise.
A travers leur dynamisme ils construisent et développent différents secteurs de l’économie de la locomotive de l’Afrique Centrale.
Entre autres, on peut citer Baba Danpullo, opérateur économique, qui a fait fortune dans l’immobilier, l’agriculture, les télécommunications…, Paul Fokam Kammogne, propriétaire d’Afriland First Bank, Louis Paul Motaze le ministre des Finances, Célestin Tawamba, opérateur économique patron de la Pasta et non moins président du Gicam, Judith Achu, la DG de Camtel, Nana Bouba Fondateur de l’entreprise agroalimentaire Nana Bouba Group, Colin Mukete, investisseur dans la communication et télécommunications, Kate Fotso patronne de Telcar cocoa …
Ce classement autant le dire est la résultante de l’impact positif qu’on ces capitaines d’industrie sur la bonne marche de l’économie du pays, malgré les difficultés que ces entreprises traversent. D’ailleurs la crise sanitaire qui a fait perdre du sommeil à certains, et à d’autres de réduire tout simplement le personnel, est la preuve qu’être entrepreneur au Cameroun n’a jamais été un long fleuve tranquille.
A côté de ces capitaines, on se pencherait aussi sur des jeunes loups qui sont porteurs des grands projets innovateurs… Start-up locales, qui font leur bonhomme de chemin, dont-on ne saurait situer sur le même podium que les gros calibres cité plus haut. Mais dont-on parlera d’ici quelques années.
Groupés au sein de plusieurs Groupement que compte le Cameroun, (Gicam- Ecam-Mecam) Ces leaders pèsent de leur poids et n’hésitent pas à challenger les multinationales ou autres investisseurs en terre camerounais. Ces entreprises, quel que soit leur secteur d’activité ne demandent qu’à l’Etat leur fassent confiance et allège l’assiette fiscale.
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