Des pressoirs montés sur place au Cameroun et qui fonctionne à l’aide des moteurs de véhicules broient à chaud en quelques minutes des noix de palme et permettent d’obtenir de l’huile. Leur service accessible à toutes les bourses fait courir les petits producteurs de l’huile de palme.
Autrefois au Cameroun, presser des noix de palme pour obtenir de l’huile se faisait de manière artisanale. Il fallait après les avoir cueillies, les nettoyer, les laver et les préparer dans de grands fûts ou marmites. Ensuite les transporter dans un pressoir artisanal. Ce dernier était construit à côté d’une rivière avec des cailloux superposés l’un au dessus de l’autre sur un autre caillou plat cette fois.
Le presseur y rentre et écrase au fur et à mesure les noix. A la fin de la presse, il rentre une quantité dans le pressoir, y ajoute de l’eau, bats la noix pressé et obtient par la suite une pâte onctueuse. Cette dernière est ensuite préparé pout y retirer toute l’eau et au bout du compte, on obtient de l’huile de cuisson. Aujourd’hui même si cela se fait encore, des pressoirs modernes existent. Ces pressoirs modernes sont montés pour la plupart sur place au Cameroun et facilitent la tâche aux paysans.
SOURCE: agripapers.com
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